Archive pour juillet, 2019

Relecture de “L’École de rame” de Nicolas Decoud

publié par / 23 juillet 2019 / Catégories : Relecture / -

Le roman :

Un jeune officier se retrouve parachuté au Liban, au sein des casques bleus français.
La grande aventure à laquelle il aspire tourne vite à la pantalonnade. Là-bas, il fait face à l’inertie de l’ONU, aux caprices de ses chefs, aux  mesquineries de ses camarades et à l’hostilité des habitants.
Tout ce qu’il entreprend échoue plus ou moins piteusement. Mais dans une région aussi instable, la moindre maladresse peut avoir des conséquences dramatiques.
Cette satire du milieu militaire nous entraîne sur les traces des soldats français au Liban.
Leurs aventures rocambolesques font ressortir le côté absurde de leur mission et des postures guerrières. Car plongés dans le folklore onusien, ces valeureux peacekeepers affrontent un ennemi bien plus redoutable qu’une armée ou une milice, et que ni le canon ni l’héroïsme ne peuvent abattre : le sentiment de leur propre futilité.

 

 

L’auteur :

Nicolas Decoud est né en 1983 sur les terres de Frédéric Barberousse.
Après des études en école de commerce et divers stages et emplois mal rémunérés, il s’engage dans l’armée de Terre pour des raisons pécuniaires et littéraires. Il participe à plusieurs opérations extérieures, dans les Balkans, au Levant et en Afrique.
Quelques années plus tard, il quitte l’armée pour retourner sur les bancs de l’université. Les stages lui manquaient.
L’École de rame est son premier roman.

 

Relecture du roman réalisée par Tatjana Marwinski

Documentaire “Varda par Agnès” : traduction allemande du voice-over et des sous-titres

publié par / 23 juillet 2019 / Catégories : Sous-titrage, Voice over / -

Photo de Georges Biard (Licence CC)

Diffusé le 18 mars 2019 sur Arte :

Varda par Agnès, le dernier documentaire d’Agnès Varda, récompensé à la Berlinale en 2019 par une Berlinale Kamera, quelques semaines avant le décès de la réalisatrice à l’âge de 90 ans.

Traduction du voice-over et des sous-titres vers l’allemand : Tatjana Marwinski